L’exemple donné ci-dessous présente le mode de définition des compatibilités dans les nœuds pour les déplacements compatibles. La figure ci-dessous présente une structure donnée à titre d’exemple.
Pour la structure en question, les barres et nœuds suivants ont été définis (voir le dessin) :
Nœuds :
Non. 1 avec les coordonnées suivantes (0, 0, 0)
Non. 2 avec les coordonnées suivantes (2, 0, 0)
Non. 3 avec les coordonnées suivantes (1, 0, 1). Nœuds n° 3 et 6 ont des coordonnées identiques.
Non. 4 avec les coordonnées suivantes (0, 0, 2).
n° 5 avec les coordonnées suivantes (2, 0, 0)
Non. 6 avec les coordonnées suivantes (1, 0, 1). Nœuds n° 3 et 6 ont des coordonnées identiques.
Barres :
n° 1 origine dans le nœud 1, extrémité dans le nœud 3
N° 2 commençant dans le nœud 3 et se terminant dans le nœud 2. Les barres 1 et 2 sont ajoutées pour former la première barre "I"
n° 3 origine dans le nœud 4, extrémité dans le nœud 6
N° 4 commençant dans le nœud 6 et se terminant dans le nœud 5. Les barres 3 et 4 sont ajoutées pour former la seconde barre "II".
Le type de compatibilité est défini de façon que les déplacements des nœuds sont les mêmes et les rotations dans les nœuds peuvent être différentes.
La compatibilité des nœuds n° 3 et 6 par rapport aux déplacements UX, UY et UZ signifie que les déplacements des barres "I" et "II" sont les mêmes dans le nœud commun 3(6), tandis que leurs rotations sont différentes. Cette définition équivaut à la rotule entre deux barres colinéaires "I" et "II".